Nom, prénoms :
Howard Augustus, Arcturus, Ignotus Perceval
Date de naissance ET âge :
6 Juin 1966, 28 ans
Nationalité / origines :
Nationalité américaine, origines britanniques.
Statut :
Sang pur
Lieu de résidence :
Banlieue de New York
Profession :
Professeur de Sortilèges
Ancien de Salem :
Oui, de Silversword
Famille :
Père : Augustus Howard : Sorcier Britannique ayant fait ses études à Poudlard. Maintenant Directeur de la grande Librairie Howard's connue dans tous les Etats-Unis.
Mère. Américaine, ayant fait ses études à Salem, à Silversword. Co-dirige l'entreprise familiale avec mon père.
Histoire :
Mon père, Arcturus Howard était un sorcier britannique. Il avait une vie trépidante, faisant partie d'une élite intellectuelle peu nombreuse à Londres. Il était promis à une grande carrière. Il envisageait même de décrocher le poste de Ministre. Malheureusement, mon grand père, Ignotus, fut alors arrêté pour avoir pratiqué la magie noire, et s'en être servi sur des êtres vivants. Bafoué, déshonoré par son propre père, qui finirait désormais sa vie en prison, mon père fut lynché par la communauté magique, celle là même qui jusqu'alors le soutenait dans sa carrière ministérielle. Il décida alors de partir, loin de cette vie qui ne lui appartiendrait plus jamais. Il émigra aux États-Unis, où il tenta de se reconstruire une vie. Ici, il pouvait oublié le nom désastreux que son père -mon grand père- avait forgé. Il trouva un travail dans un librairie. Ce n'était certes pas très intéressant comparé aux capacités dont il disposait, mais, ça lui permettait de vivre.
Il rencontra alors ma mère, elle même cliente de la librairie. Très vite, ils s'installèrent ensemble. Ma mère était diplomée de l'institut de Salem, et elle travaillait au ministère de la Magie à un poste, qui comme mon père, ne lui convenait guère. Petit à petit, l'idée de monter leur propre entreprise germa dans leur esprit. Il y a trente ans, donc, naquît la Librairie Howard's, qui rencontra un succès immédiat, car elle apportait du sang neuf dans la profession. Peu après l'ouverture, ma mère tomba enceinte. Je naquis neuf mois plus tard. Mes parents étaient désormais heureux. Une belle famille, une entreprise florissante. Bientôt, il achetèrent une maison dans la banlieue de New York. Grâce à divers enchantements, ils la rendirent incartable. C'est ainsi que je grandis, loins du monde moldu, dans une atmosphère on ne peut plus chaleureuse.
Je manifestai mes premiers dons pour la magie vers l'âge de 5 ans. Je voulais attraper un livre qui se trouvait trop haut pour moi, et soudain, le livre me sauta dans les bras. Mes parents n'étant pas présents lors de cette scène, ils furent déçus, mais très vite, une autre occasion se présenta. Ma mère était affairée autour de la cuisinière, mon père lisait son journal avant de partir au travail. Mes parents discutaient joyeusement. Je prenais moi même mon petit déjeuner silencieusement, profitant autant que puisse le faire un gamin de 5 ans, du bonheur d'être en famille. Un hibou arriva alors, ma mère sursauta, renversant du même coup la casserole d'eau bouillante dont le contenu allait se déverser sur ma mère. Personne n'aurait eu le temps de réagir. Mais, inexplicablement, l'eau, et la casserole restèrent en suspens, fumant à quelques centimètres du corps de ma mère. Et moi, j'étais concentré sur ces deux éléments, me disant qu'il ne fallait pas que je lâche, car je savais pertinemment que j'étais celui qui venait de sauver ma mère d'une grave brûlure.
Le reste de mon enfance se déroula sans accroc particulier. J'étais enfant unique, dans une famille qui prospérait, et je fus alors admis au grand Institut de Salem. Je fus envoyé à Silversword, bien que j'eusse les aptitudes pour étudier dans la faculté de Rosethorn. Je rencontrai un succès immédiat. Elève plutôt solitaire, ne bavardant pas, étudiant beaucoup, les professeurs m'aimaient bien. Mes notes en classe étaient excellentes. Mes parents étaient fiers de moi ! A 17 ans, je sortis du collège avec les notes maximales en Sortilèges, en DCFM et en Potions, ayant obtenu des E partout ailleurs.
Ainsi, j'entamai un voyage autour du monde, qui devrait durer un an. Je voyageai partout, rencontrant des sorciers de tout types, des créatures fantastiques. Quand je revins, un an plus tard, enrichi, ragaillardi, je me mis à chercher du travail, bien que mes parents m'aient proposé de travailler à leur coté. Je ne voulais en effet pas dépendre de l'entreprise familiale et prouver mes capacités en leur montrant que je pouvais me débrouiller seul. Je trouvai un poste au ministère, qui ne me satisfaisait pas vraiment, mais au moins, j'étais indépendant. De plus, je me mis à donner des cours du soir pour les sorciers qui avaient un peu de mal à pratiquer la magie. J'obtins bien vite un grand succès, si bien que j'abandonnais mon travail au ministère pour me consacrer pleinement à celui d'enseignant que j'appréciais particulièrement.
La fermeture de l'Institut me désola, et je fis partie de ceux qui signaient les pétitions pour sa réouverture. La politique d'ouverture aux nés moldus ne me dérangeait pas trop, bien que je considère qu'il était plus facile pour un sorcier de pur souche d'apprendre la magie. Être né dans ce monde, y avoir grandi, avoir vu ses parents pratiquer la magie permet un meilleur éveil alors que de découvrir vers ses onze qu'on appartient à ce monde est sans aucun doute un handicap.
Lorsque j'appris que l'Institut allait rouvrir, je me dis qu'il était temps pour moi d'enseigner pour de bon, ne me contentant plus de cours de rattrapage. Mon entreprise marchait bien, et je la laissais aux rennes de ma mère, qui se chargerait de trouver un enseignant. J'envoyais aussitôt une lettre à la directrice, pour solliciter un entretien d'embauche. Peu avant la rentrée, je fus convié au collège pour ledit entretien. C'est ainsi que je me présente face à vous, attendant votre accord ou non, pour accéder au poste de Professeur de Sortilèges, qui avait été, à l'époque, ma matière préferée.
Description physique :
Grand et élancé, je possède toutes les caractéristiques physiques des Howard. J'ai les yeux d'un bleu profond, ainsi qu'une vue effroyable qui m'oblige à porter des lunettes en permanence. Et bien que je dispose des pouvoirs nécessaires pour améliorer ma vue, je préfère continuer à porter ces lunettes qui me profèrent un certain charme. J'ai souvent un vague sourire aux lèvres, qui peut facilement me donner l'air d'un ahuri, mais, ce sourire est en fait présent lorsque je suis perdu dans mes pensées. Je possède un tatouage sur l'omoplate gauche, que je me suis fait faire dans une tribu de sorciers d'Afrique noire lors de mon voyage initiatique. Il représente un serpent s'enroulant autour d'une épée, synonyme de force, de sagesse, et de fécondité. Je porte le plus souvent des vêtements noirs, préférant la sobriété à l'extravagance.
Caracère :
Je suis quelqu'un de plutôt réservé et timide, préférant une solitaire lecture à une tentative de nouer des liens avec des inconnus. Mais, il m'arrive d'aimer côtoyer certaines personnes, entre autres, mes parents, ainsi que les amis que je me suis fait durant mon voyage initiatique, et avec qui je garde un contact régulier. Pour ce qui est de l'enseignement, je suis un professeur compatissant, à l'écoute de ses élèves. En revanche, je ne tolère aucune forme d'insubordination, d'impolitesse, d'insolence, ou de confrontation, étant très attaché à la politesse, et au respect des gens qui sont d'un rang supérieur. De plus, je suis très impartial. Enfin, je suis quelqu'un d'obstiné, et prêt à donner des cours supplémentaires aux élèves qui auraient du mal dans ma matière car ils sont le reflet de la manière dont j'enseigne, et je ne supporterai pas de voir quelqu'un dire qu'un tel a échoué à cause de mon enseignement. Oui, je suis orgueilleux !
Aptitudes particulières, attaches :
Dons innés pour les sortilèges.
Autres : /
Question relative à l'intrigue - Que pense-t-il des Moldus ?
"La politique d'ouverture aux nés moldus ne me dérangeait pas trop, bien que je considère qu'il était plus facile pour un sorcier de pur souche d'apprendre la magie. Être né dans ce monde, y avoir grandi, avoir vu ses parents pratiquer la magie permet un meilleur éveil alors que de découvrir vers ses onze qu'on appartient à ce monde est sans aucun doute un handicap."